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Plaine Vallée, l'agglomération qui recrute

Publié le jeudi 19 avril 2018 , www.lagazettedescommunes.com

" Le cadre de vie est très agréable. Plaine Vallée offre les commodités de la ville dans un cadre verdoyant. C'est idéal pour concilier vie privée et vie professionnelle. On y trouve des sites avec des points de vue exceptionnels sur Paris, le lac d'Enghien, la Forêt de Montmorency, des équipements sportifs et culturels de qualité... L'offre résidentielle est variée et de qualité : à deux pas des universités Paris XIII et Paris VIII (Seine-Saint-Denis), à 20 minutes de Paris-Gare du nord et au coeur d'un bassin d'emploi en plein essor. La taille de l'agglomération est un argument fort de recrutement. Travailler dans une agglomération de cette taille est un plus sur un CV ".

visuel Plaine Vallée, l'agglomération qui recrute

Plaine Vallée est une toute jeune agglomération…

Christine Duarte et Patrice Girot

Christine Duarte et Patrice Girot

Patrice Girot, directeur général des services : Jeune et en pleine expansion, Plaine Vallée est un produit de la loi Notre. Elle a été créée le 1er janvier 2016 et est issue de la fusion de la communauté d’agglomération de la Vallée de Montmorency (CAVAM) avec la communauté de communes de l’Ouest de la Plaine de France (CCOPF), étendue aux communes de Montlignon et Saint-Prix. Elle regroupe 18 communes (*), soit près de 184 000 habitants.

Christine Duarte, directrice des ressources humaines : La taille de l’agglomération est un argument fort de recrutement. Travailler dans une agglomération de la strate 150 à 400 000 habitants est un plus sur un CV. Cette strate est intéressante pour les agents de catégorie A, mais aussi pour ceux de catégorie B ou C. Elle nous permet de leur offrir des perspectives d’évolutions de carrière, notamment sur les conditions requises pour les avancements.

(*) : Andilly, Attainville, Bouffémont, Deuil-La Barre, Domont, Enghien-les-Bains, Ezanville, Groslay, Margency, Moisselles, Montmagny, Montmorency, Piscop, Saint-Brice-sous-Forêt, Saint Gratien et Soisy-sous-Montmorency.

Enghien

Enghien

Logements à Deuil la barre, Communauté d’agglomération Plaine Vallée

Quelle est la spécificité du territoire ?

P.G. : C’est un territoire atypique avec, au sud, un espace urbain très dense et, au nord, séparé par le massif forestier de Montmorency, un espace plus rural. Il n’y a pas de ville centre, mais plusieurs villes autour de 20 000 habitants : Soisy-sous-Montmorency, Montmorency, Deuil-La Barre, Saint Gratien. Nous sommes en fait une micro Ile-de-France : nous avons des communes semblables à celles de la petite couronne mais aussi quelques villages peuplés de rurbains.
C.D. : Cette diversité est une richesse pour nos agents qui doivent au sein d’un même service répondre à des problématiques très différentes. Le service assainissement, par exemple, s’occupe principalement d’assainissement collectif dans le sud, et d’assainissement individuel dans le nord. Le service développement économique ne mène pas non plus la même politique dans le sud, très résidentiel, et dans le nord, qui dispose encore de nombreuses friches. Cela préserve de toute monotonie dans le travail.
Plaine Vallée jouxte des territoires du Grand Paris…
P.G. : Plaine Vallée est la porte d’entrée du Val d’Oise et la banlieue de Plaine Commune, l’agglomération voisine de Seine-Saint-Denis. Nous sommes frontaliers du Grand Paris avec le pôle de Roissy Charles de Gaulle d’un côté et le pôle économique de Plaine Commune de l’autre. Nous sommes au cœur de tous les projets de développement du nord de l’Ile-de-France.
C.D. : Nous sommes sur un territoire en plein développement doté d’une bonne desserte en transports en commun, notamment vers Paris et la Seine-Saint-Denis. Et la dynamique du Grand Paris va encore renforcer ce réseau.
Inter : Complémentarité et solidarité

Quelle est la stratégie globale de l’agglomération ?

P.G. : L’agglomération s’est construite sur des critères de complémentarité et de solidarité. Il n’y a pas un dominant et des dominés. Nous développons des projets dans le respect des entités communales.
C.D. : Les agents, quel que soit le service dont ils dépendent, sont en relation permanente avec les élus ou les services des communes. Nous insistons lors du recrutement sur la relation forte qu’ils doivent développer avec les élus et les services des communes.

Quelles sont les principales politiques menées par l’agglomération ?

P.G. : L’agglomération assume les compétences obligatoires que la loi lui a assignées : développement économique, politique de la ville, etc. La sécurité par exemple est une compétence supplémentaire, et non obligatoire. Cela n’en est pas moins une de nos priorités. La CAVAM a été la première à créer une police d’agglomération en France et nous gérons aujourd’hui plusieurs postes de police municipale et 2 centres de surveillance urbaine (CSU).
C.D. : Plus de 50 % de nos agents travaillent dans le domaine de la sécurité, comme policier municipal ou opérateur de vidéo. C’est le poste ressources humaines numéro un. Les deux autres services pourvoyeurs d’emploi sont les techniques (assainissement, bâtiment, voirie) et le développement économique.

Assainissement et sécurité : des métiers en tension

Combien d’agents compte l’agglomération ?

P.G. : 195. Et nos besoins devraient continuer à croître dans les années à venir.
C.D. : La majorité des agents sont issus de la fusion des deux précédentes communautés. La création de Plaine Vallée a été pour eux une véritable opportunité de carrière. Aujourd’hui, nous continuons à promouvoir l’évolution en interne mais nous recrutons aussi en externe.

Dans quel secteur recrutez-vous ?

P.G. : L’assainissement en priorité. Depuis le 1er janvier 2018, nous exerçons cette compétence sur toutes les communes de l’agglomération. Or, nous n’avons actuellement que 6 agents en poste pour 184 000 habitants. Il nous faut impérativement recruter pour mener à bien notre mission. C’est pour nous un enjeu très fort.
C.D. : Les métiers de l’assainissement sont des métiers en tension et nous avons énormément de mal à trouver des candidats. Nous recrutons aujourd’hui trois agents assainissement, de catégorie B ou C, diplômés ou dotés d’une expérience professionnelle. Les candidats doivent avoir de fortes qualités relationnelles car ils sont en lien avec les administrés. Ils doivent également être d’une grande disponibilité car ils sont soumis à des astreintes.

Vous avez aussi des besoins dans les métiers de la sécurité…

P.G. : Huit des 18 communes disposent d’une police d’agglomération, ce qui représente 90 policiers municipaux. Ce sont des agents de l’agglomération : nous les recrutons et nous gérons leur carrière. Mais nous les mettons à disposition des maires. Ce sont ces derniers, notamment, qui décident ou non de les armer.
C.D. : Nous recrutons en quasi permanence des gardiens-brigadiers (catégorie C), junior ou expérimenté, car c’est un métier avec un fort turn-over. Nous avons aujourd’hui une dizaine de postes à pourvoir. Travailler au sein d’une agglomération présente pour eux de nombreux atouts. Ils participent à des missions communales et intercommunales. Ils bénéficient de moyens matériels mutualisés conséquents (tenues, équipements, voitures, etc.). Et les possibilités de mobilité interne comme les évolutions de carrière sont plus importantes que dans une commune.

Autonomie et transversalité

Au-delà des compétences techniques, quelles sont les valeurs professionnelles que vous recherchez ?

C.D. : L’autonomie et la transversalité. Les responsables de service disposent d’une très forte autonomie. Le quotidien doit pouvoir se gérer sans en référer au DGS. Ils doivent aussi être force de proposition. La transversalité au sein des services et entre les services est également essentielle au bon fonctionnement de l’agglomération.
P.G. : Nous sommes une jeune agglomération, il n’y a pas de pré carré, tout est à construire. Les relations sont assises sur la confiance. Il y a une hiérarchie, mais ce qui prime, c’est l’efficacité. C’est un état d’esprit.

Quel est le processus de recrutement ?

C.D. : Le service RH et le chef de service travaillent de concert. Ils rédigent les annonces, analysent les CV reçus et font passer le 1er entretien. Il y a ensuite parfois un 2nd entretien avec le DGS ou un élu de l’agglomération – ou de la commune, quand il s’agit du recrutement d’un policier.
P.G. : Je n’interviens, en tant que DGS, que sur certains postes. C’est aussi ça l’autonomie, la confiance.

Quelle est votre politique salariale ?

P.G. : Nous avons mis en place le RIFSEEP (régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel, ndlr). Ce régime indemnitaire nous permet de compenser l’absence de 13e mois et d’être attractifs vis à vis du privé ou des autres collectivités.
C.D. : Il y a à Plaine Vallée, lors des entretiens, une vraie discussion salariale.

Les agents ont souvent une famille, un/e conjoint/e, des enfants qu’un déménagement peut inquiéter. Que leur dites-vous ?

P.G. : Venez ! On a des sites avec des points de vue exceptionnels sur Paris, le lac d’Enghien, la Forêt de Montmorency, des équipements sportifs et culturels de qualité… Notre offre résidentielle est variée et de qualité. Nous sommes à deux pas des universités Paris XIII et Paris VIII (Seine-Saint-Denis), à 20 minutes de Paris-Gare du nord et au cœur d’un bassin d’emploi en plein essor.
C.D. : Le cadre de vie est très agréable. On a les commodités de la ville dans un cadre verdoyant. C’est idéal pour concilier vie privée et vie professionnelle.